Cela fait écho à ce que l'on peut lire p. 160, édition Folio, de Petits suicides entre amis de Arto Paasilinna : "Il tira les rideaux devant les fenêtres. Rien de plus facile, finalement, que de quitter cette maison qui avait été si longtemps la sienne. Mais on ne s'attache pas à un immeuble, en tout cas pas quand on est officier. Pour être un chez-soi, avoir une âme, un appartement doit être habité par une femme. Si elle s'en va, ou si elle meurt, l'endroit redevient un simple logement, une turne, une cambuse. C'est ce qu'expliqua le colonel à Helena Puusaari."
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2 commentaires
Je ne sais pas trop comment les femmes doivent le prendre ^^
Cela fait écho à ce que l'on peut lire p. 160, édition Folio, de Petits suicides entre amis de Arto Paasilinna : "Il tira les rideaux devant les fenêtres. Rien de plus facile, finalement, que de quitter cette maison qui avait été si longtemps la sienne. Mais on ne s'attache pas à un immeuble, en tout cas pas quand on est officier. Pour être un chez-soi, avoir une âme, un appartement doit être habité par une femme. Si elle s'en va, ou si elle meurt, l'endroit redevient un simple logement, une turne, une cambuse. C'est ce qu'expliqua le colonel à Helena Puusaari."
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